Twistered a écrit :Coucou Natha,
j'ai juste besoin d'un petit éclairement de ta part, peux tu nous écrire exactement ce qu'on dit chaque concession respectivement : CAD Huchet SA et FOURNIER SAS ?
Ont-il dit "vous devez changer le turbo", ou "d'ici quelques mois il est probable qu'il soit amené a être changé" etc... ,?
Ce n'est pas pour t'embeter, mais pour déterminer le rôle de chacune des concessions dans ce plats de spaghetti.
Merci et bonne soirée !!
Dans les documents affichés en page 20, HUCHET indique "suspecter le turbo" et Fournier indique "jeu axe turbo - prévoir changement turbo ".
Pour la "convocation" (
en fait, ils t'invitent), le ton est administratif mais prudent :
nous vous invitons à participer ou vous faire représenter à une réunion ... en vue d'une recherche d'une éventuelle responsabilité dans une avarie (
c'est marrant, ce terme désigne un incident technique survenu brutalement dans le domaine maritime).
Ensuite, ils se montrent un peu menaçant, mais toujours aussi prudent : si vous ne venez pas ou ne vous faites pas représenter, alors les constatations techniques faites en votre absence pourraient vous être opposables.
En clair, si tu ne viens pas, ils vont faire un constat technique (
non contradictoire puisque tu n'auras pas été présent ou représenté) et ils indiquent qu'éventuellement, ce rapport pourrait servir à une étape ultérieure. En réalité, à rien car seul un juge peut requérir une expertise technique contradictoire et opposable pour constater le problème et décider si oui ou non, il y a vice caché dont tu peux être tenu pour responsable.
De manière plus simple, si tu ne te rends pas à cette amicale invitation, le schmilblick ne va pas avancer d'un pas.
J'ai regardé le site d'OPTIMA-EXPERTISE, ils ne font que des réunions contradictoires à caractère amiable à la demande de la protection juridique d'un assureur.
Ce sont des experts automobiles "agréés" (
on ne sait pas par qui) dont le domaine d'intervention est large : véhicules automobiles, motos, bateaux et matériels agricoles.
Je pense que c'est un coup d'épée dans l'eau. Ton adversaire avance prudemment, pas très sûr de "son droit" dans cette affaire. Sinon sa protection juridique aurait peut être déjà entamée une procédure pour vice caché.