Dream13 a écrit:Je ne cherche pas à débattre sur le bien fondé de l'usage personnel du diesel ou de l'essence, surtout si on fait professionnellemnent beaucoup de kilomètres.
Mais si on prend le problème à la base, on voit que le phénomène du quasi tout diesel est lié essentiellement au prix artificiellement bas du gasoil. Les anciens diesels avaient pour eux la solidité, la faible consommation et un coût d'entretien peu onéreux. Ces moteurs, peu performants, étaient rares sur les véhicules légers, à part quelques grandes routières et les taxis.
Pour approcher les performances d'une essence, les diesels ont été énormément fragilisés et leur entretien est plus fréquent et les pièces plus chères. Si on atteint des couples et des puissances maxi importants, l'agrément de conduite est rarement celui d'un bon moteur essence. L'ennui est que ces derniers se font rares à la fois comme équipement (certains modèles n'offrent pas de moteur essence!) ou bien sont des petites cylindrées auquelles on greffe un turbo (pour diminuer l'émission de C02) . Pour résumer c'est un évolution "contre nature" ! On dit même qu'un bon gros moteur essence à 100 000km termine à peine son rodage alors qu'un DCI, TDI, HDI... a toutes les (mal) chances d'être passé plusieurs fois, au mieux, à la réparation !
On arrive même à un non sens: vendre des petites voitures diesels pour un usage dominant en ville. Non seulement la voiture ne sera amortie du surcoût qu'après de nombreuses années, mais c'est néfaste pour le moteur!
On a vu comment BMW a su, ces vingt dernières années, diminuer la consommation de ses essences. Malheureusement, cette dernière décennie, la plupart des constructeurs ont préféré concentré leur énergie au diesel
En fin de compte, je viens de m'apercevoir que j'ai résumé une bonne partie de ce post !!! ça peut pas faire du mal
Denis nurburg a écrit:Bonsoir,
Pour citer un exemple concret, une 525D berline est tarifiée à 46.000 € en configuration de base et une X6 30 D de base à 60.000 €, est il encore opportun après pareil débours et sous quelle ligne de conduite d'envisager une réduction artificielle des couts d'utilisation au travers d'une motorisation Diesel ?
Certainement non, le diesel est devenu un phénomène de mode ou bien de masse,résultante d'un appauvrissement intellectuel, tout comme le cassoulet et c'est le cas de le dire : "l'essence" de l'automobile semble avoir échappé à la compréhension des utilisateurs actuels cependant enclins à dépenser des sommes Pharaoniques pour l'acquisition d'un véhicule automobile. (vraisemblablement un simple faire valoir.)
En résumé, un véritable non sens pour les amateurs de fine mécanique capables d'utiliser à bon escient la quintescence de leur six et qui comme moi ont eut le bonheur incommensurable de percevoir clairement les harmoniques mélodieuses des BMW mues par uns six en ligne essence, fussent t'ils d'usine ou bien bonnifiés par le sieur Alpina, à l'origine, les motorisations gazolées étaient le fruit d'un esprit malade et dégénérescent, car qui pourrait opportunément mouvoir avec grâce,mélodie,élégance et plaisir de conduite un véhicule automobile de bonne souche partageant le même carburant qu'un poele à mazout réservé depuis la nuit des temps à des foyers nécéssiteux.
A+
Epicure a écrit:C'est sûr que si pour toi le plaisir automobile se situe au niveau du ralenti, garde ton diesel .
Bonsoir,
Pour citer un exemple concret, une 525D berline est tarifiée à 46.000 € en configuration de base et une X6 30 D de base à 60.000 €, est il encore opportun après pareil débours et sous quelle ligne de conduite d'envisager une réduction artificielle des couts d'utilisation au travers d'une motorisation Diesel ?
Certainement non, le diesel est devenu un phénomène de mode ou bien de masse,résultante d'un appauvrissement intellectuel, tout comme le cassoulet et c'est le cas de le dire : "l'essence" de l'automobile semble avoir échappé à la compréhension des utilisateurs actuels cependant enclins à dépenser des sommes Pharaoniques pour l'acquisition d'un véhicule automobile. (vraisemblablement un simple faire valoir.)
En résumé, un véritable non sens pour les amateurs de fine mécanique capables d'utiliser à bon escient la quintescence de leur six et qui comme moi ont eut le bonheur incommensurable de percevoir clairement les harmoniques mélodieuses des BMW mues par uns six en ligne essence, fussent t'ils d'usine ou bien bonnifiés par le sieur Alpina, à l'origine, les motorisations gazolées étaient le fruit d'un esprit malade et dégénérescent, car qui pourrait opportunément mouvoir avec grâce,mélodie,élégance et plaisir de conduite un véhicule automobile de bonne souche partageant le même carburant qu'un poele à mazout réservé depuis la nuit des temps à des foyers nécéssiteux.
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